On me demande souvent comment j’arrive à travailler autant. Ce qui a l’air d’être quantitatif est en fait qualitatif. J’ai appris avec les années que lorsque les gens disent « je manque de temps pour faire ça », c’est généralement qu’ils ne priorisent pas ce projet ou qu’ils n’ont pas l’intérêt et conséquemment l’énergie à attribuer audit projet.
Ce que je fait n’est pas de travailler plus, mais de travailler autour des projets qui me tiennent à coeur et pour lesquels je dépense mes ressources sans compter. Arriver à prioriser ses projets et ses tâches libère un temps que l’on ne croyait pas avoir. Lorsque je suis bien reposé (et je m’arrange pour l’être) et que je travaille sur quelque chose qui me passionne, trouver du temps est rarement un problème. Plutôt, j’ai du mal à arrêter.
Marie-Emmanuelle Marchand, M. Sc., Orthophoniste
AOS et AVC : un lien clinique fort mais sous-diagnostiqué — surtout chez les femmes
Un trouble respiratoire aux conséquences neurologiques majeures L’apnée obstructive du sommeil (AOS), longtemps perçue comme un simple problème de ronflement, est aujourd’hui reconnue comme un facteur de risque cardiovasculaire et
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